Concert
du dimanche 30 janvier
Les
ténors étant absents, il restait encore du monde pour interpréter la
symphonie dominicale des IOM, sous la baguette de notre dévoué et bien
aimé président. Les seconds violons ont ainsi pu jouer, chacun leur
tour, leur partition, la symphonie étant en 6 parties.
La
première partie, andante, fut remarquable tant l'harmonie était réelle,
tous les musiciens jouant parfaitement ensemble.
Dans
la troisième partie, allegro, Jacques nous a tous ébloui par un
brillant solo dont il a le secret, solo interprété avec maestria,
laissant tous les jeunots admiratifs de sa dextérité.
On
a parfois entendu toujours le même refrain, « de l'eau, tribord »,
air connu.
On
a même vu Alain engager, dans la cinquième puis la sixième partie, un
tango endiablé, très enlacé, avec Dom 2 puis Dom 1. Il semblerait
qu'on ait entendu une autre tentative de tango enlacée qui se
serait rapidement terminée.
Pour
ma part, il a fallu que je change au début du spectacle une corde de
mon instrument. (pardon aux puristes, un bout).
Tous
les musiciens ont trouvé que la salle de concert était très mal
chauffée et parfois un peu juste en ventilation.
Pour
plus de précisions, sur la position de chacun, vous vous reporterez à
la partition jointe.
A
12h15, Philippe a bouclé la salle et chacun est reparti avec de la
musique plein la tête, s'arrachant difficilement, tels de vieux loups
de mer, aux doux chants des sirènes de la vasque.
Vivement
dimanche et le prochain concert avec, nous espérons, l'orchestre au
grand complet.
Alain
